ART : cours en club photo

Mon président de club photo m’a demandé de faire une formation sur ART.

Si quelqu’un a fait cette animation au sein de son club, j’aimerais savoir qu’elles ont été les objections pour que je puisse me préparer.

Savoir si les adhérents étaient “preneurs” de ce logiciel. Ce qu’ils aimaient et ce qu’ils n’aimaient pas dans ART.

Accessoirement, si vous avez un “fil d’Ariane” de la formation je serais intéressé de le lire.

Philippe

Je n’ai jamais fait cela mais si on peut profiter de la formation ce serait super !

Bonjour,
les adhérents de mon club sont pour la majorité très loin de pouvoir utiliser un logiciel du niveau de ART.
Les plus aguerris s’accrocheront au logiciel qu’ils payent chèrement -ou pas…

Les objections possibles sont principalement

  • c’est quoi cette interface, on n’y comprend rien
  • qu’est-ce que ART fait mieux que mon logiciel à moi ?
  • pourquoi l’image est “moins belle” qu’avec mon logiciel à moi ?

Plus la personne a “de la bouteille”, plus il est difficile de la faire sortir de sa zone de confort, c’est légitime.
Dans ce type d’intervention, on est confronté à la résistance des vieux de la vieille et aux difficultés d’apprentissage des béotiens.

Autrefois, j’animais des ateliers Lightroom par niveau (I, II, III). Mais ça prenait des semaines.

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Bonjour de mon côté j’utilise ce logiciel depuis plus d’un an et les tutos proposés sont très bien faits. En revanche ce logiciel est tellement riche que j’ai tendance à m’y perdre et je serai ravi de pouvoir échanger sur l’utilisation pour connaître la méthodologie des uns et des autres. L’idée d’une formation en club photo est très bien :+1:. Merci pour vos éventuels commentaires.

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J’ai assuré de nombreuses formation (sécurité électrique) la formatrice conseillait de repérer dés le début le participant le plus hostile puis d’en faire un allié, ne pas être trop long, faire des essais au fur et mesure de la progression dans les modules, éviter la comparaison avec un autre logiciel et ne pas dénigrer ces logiciel.
Bone M…

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Toujours intéressant de savoir comment l’on peut faire adhérer des utilisateurs qui n’ont pas l’expérience d’un logiciel par rapport à ceux qui utilise déjà un autre logiciel.

J’ai vécu cela dans le domaine de bureautique entre ceux et celles qui avaient été nourri(e)s dès “le biberon” avec la suite office et à qui l’on demandait d’utiliser Open Office puis LIbre Office. Ce que j’en pense c’est Il est contre productif d’essayer de faire des passerelles entre les logiciels. Pour les plus aguerris c’est un peu comme essayer de débattre avec un complotiste : en général on ne fait renforcer leur hostilité (au changement). Pour ceux (celles) la je leur dirait simplement que leur acquis en termes de concepts ne peut que faciliter leur appropriation de l’outil mais surtout qu’un certain “désapprentissage” pourrait aussi leur permettre d’avoir une autre approche du développement et peut être même découvrir des aspects qu’ils ne connaissaient pas ou qu’il avaient laissé de côté. D’une façon plus général Il me parait plus judicieux d’avoir une approche qui consiste à laisser l’ergonomie au second plan (n’importe qui peut dérouler des menus) - au profit d’une approche concrète sur cas pratiques qui permettre d’approfondir les différents étapes d’un développement. En procédant de cette façon l’on peut espérer que les “habitués des autres logiciel” soient moins réticents et aussi intérressés que les “nouveaux”

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Bonjour,

anecdotes vécues dans le cadre d’une association d’aide à l’usage des logiciels libres.

Moi : passez en revue les menus pour voir quelles actions sont possibles
Lui|elle : c’est quoi les menus, je ne vois pas…
Moi : quand vous avez terminé, vous cliquez sur le bouton OK
Elle|lui : le regard tourne et retourne sur l’écran, sans repérer le bouton…

tout à fait d’accord

tout à fait d’accord

Ce que je voulais évoquer c’était l’absence d’intérêt de procéder de cette manière mais si ce que tu évoques par cette anecdote est qu’il des parfois difficile de concilier les différences de niveaux dans un groupe je comprends et plussoie mais au cas particulier cela relève d’autre chose qui porte un nom “illettrisme numérique”.

Entre parenthèses et contrairement aux idées reçues ce n’est pas toujours le 3ème âge qui peut êrtre concerné. Si les “jeunes” sont effectivement décomplexés vis à vis de l’informatique ils n’y connaissent souvent pas grand choses : quel pourcentage à un niveau suffisant pour installer un système d’exploitation par exemple ?

Reste qu’évaluer le niveau des participant à qui l’on s’adresse n’est jamais inutile pour s’adapter voir réviser des concepts de base (fichiers, dossiers, applications , menus, clic droit, choix et validation etc…) permettant de dépasser le niveau 1 de l’informatique ; c’est à dire être capable d’enregistrer un fichier et savoir le retrouver : -)

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