Bonjour,
Photographe amateur avec une pratique en dent de scie mais une tendance à moins papillonner ces dernières années : acquisition d’un matériel “qui va bien” et shootings bien plus réguliers !
Jusqu’ici, mes retouches (on ne peut pas appeler ça du développement) étaient limitées au strict minimum avec des fonctions simples proposées par des vieux logiciels “easy” comme Picasa et aujourd’hui Google Photos, ce exclusivement avec des sources JPG, même si depuis déjà quelques temps je shoote en JPG + RAW pour le cas où… je trouverais le soft “panacée universelle” qui me permettrait de pouvoir “sublimer” un tant soit peu mes photos que je pourrais enfin vraiment développer “comme les vrais”.
Sauf que… adepte du logiciel libre (j’ai viré Windaube de ma vie depuis bien longtemps et ne souhaite pas payer le kilo de “pommes” au prix du caviar), depuis plusieurs années j’ai cherché, fouiné, gratté, étudié, testé… un peu tout ce qui pouvait être proposé sous Linux avec comme besoins principaux : simplicité et rapidité (aucune envie de passer des heures et des heures derrière un ordinateur pour peaufiner et re-peaufiner et re-re-peaufiner… en s’acharnant sur des mouches non consentantes).
Après des mois et des mois de recherches, le seul outil sérieux que j’avais pu “dégoter” parce qu’il remontait plus souvent que les autres à la surface était bien entendu Darktable (très complet, très bien documenté, des tutos en veux-tu, en voilà, en veux-tu pas, en voilà quand-même…).
Sauf que-bis… à l’usage de ce couteau Suisse du développement photo qu’est Darktable, je me me suis noyé dans la technique, la pléthore de modules plus pointus les uns que les autres (ouille ! ça pique !), sans compter la philosophie changeante qui aiguille vers de nouvelles méthodes, avec de nouveaux outils aux fonctionnalités redondantes avec d’anciens qu’on laisse disponibles “pour le cas où”, soit une soixantaine de modules jetés en pâture aux néophytes qui pourraient bien souvent se contenter d’une dizaine mais que leur curiosité attire vers le “fais voir ce que ça fait de mieux que ce que je fais déjà de mieux que ce que je faisais déjà de mieux”.
Et c’est après avoir presque abandonné ma quête du Graal que ART est sorti des abîmes du web, que je suis allé à la pêche aux informations, que j’ai à nouveau cherché, fouiné, gratté… pour me retrouver souvent ici ou sur la chaîne Carafife (grand spécialiste de Darktable qui a “glissouillé” vers Rawtherapee, puis ver ART) et ses tutos de la mort qui tue.
Et c’est là qu’une petite lumière s’est allumée dans mon cerval : “c’est sûr, c’est vers ça que tu devrais trouver ton bonheur !”
Sauf que-ter… pour essayer la bête et voir ce qu’elle avait dans le ventre, au regard de ce que les versions au format AppImage sont obsolètes et qu’il n’y a pas de dépôts à jour, j’ai tenté de lancer le logiciel en décompressant la dernière archive proposée (V1.20.2), en ouvrant le terminal depuis le dossier décompressé et en lançant la commande ./ART, et… walou nada que tchi parce que toujours les mêmes erreurs mentionnées (mon OS est Linux Mint 21.2) : “ligne 14: /tmp/tmp.ktksfCGaF7-ART/ART/lib/gdk-pixbuf-2.0/gdk-pixbuf-query-loaders: Aucun fichier ou dossier de ce type” et “ligne 22: /tmp/tmp.ktksfCGaF7-ART/ART/ART.bin: Aucun fichier ou dossier de ce type” (avec des versions plus anciennes, c’est exactement pariel) !
J’ai jeté un coup d’œil auxdites lignes du fichier bash ART et rien ne m’a sauté aux yeux…
Donc, dès que j’aurai résolu le problème du lancement de l’application (si quelqu’un a une idée, je suis plus que preneur), c’est avec grand plaisir que je viendrai donner mes impressions après avoir sauté dans le grand bain : j’y vais, mais j’ai peur… mais j’y vais, mais… !
Dans l’attente, je vous remercie par avance pour l’indulgence dont vous voudrez bien faire preuve quant à la probable incongruité de certaines de mes démarches et autres remarques ou questions futures.
Bien à vous tous et encore merci pour tout de ce vous faites par-ici.
Jym
PS : je sais, je suis “parfois un poil” (trop) prolixe…