« logiciel Eizo » pour en calibrer l’écran sous Linux

Bonjour @Clinart,

Merci pour le message, mais pour l’instant je ne coche pas les 3 cases (snif) : je ne sais pas comment installer, sous Linux Mint (21.2 Cinnamon), le logiciel ColorNavigator / Eizo LCD Utility Disk livré avec l’écran Eizo ColorEdge CS2420.
Je lis des forums “Linux”, mais n’ai pas encore trouvé. Je suis tombé sur cette page Résolu le 15-11-18 Calibration i1 display pro - Forum-Francophone-LinuxMint.fr : je pourrais alors effectivement installer DisplayCal et utiliser ma sonde X-rite i1 Display Pro (dont je n’arrive pas non plus à utiliser son CD d’installation sous Linux)…
…Mais je souhaiterais néanmoins savoir comment fait-on pour calibrer un écran Eizo avec son environnement fourni (“propriétaire”), comme cela se fait sous windows.

J’ai vu ici Balance des blancs compliquée - #23 par jpg54 qu’il y avait bien des gens qui avait un Eizo, et utilisant ART, mais il sont visiblement sous windows.

Y-a-t-il quelqu’un qui a su installer le “logiciel Eizo” pour en calibrer l’écran sous Linux ?

Bonjour

A priori je ne suis pas sur que cela puisse servir à quelque chose … faire fonctionner un programme windows sous linux n’est pas forcément infaisable mais cela passe par une émulation (wine) qui ne gère pas toujours finement les périphériques (donc l’écran)

D’autre part le but d’une calibration c’est de créer un profil de couleur pour l’écran qui soit automatiquement lancer au démarrage par le système d’exploitation (qui lui doit correctement gérer les périphériques)
exemple de gestion dans les paramêtre de mon environnement linux KDE

Display call fonctionne nativement sous linux et permet cela avec la pluspars des sondes y compris des modèles trop anciens pour qu’ils soient encore utilisable sous windows

Dans mon cas le profil de couleur créé par DisplayCall est stocké dans un répertoire (caché) de l’utilisateur

PS - sous linux mint Displaycall est disponible dans la logithèque


L’utilisation sous linux ou windows ne diffère pas vraiment
Par exemple Calibrer ses écrans

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Il me semble que le logiciel de calibration Eizo commande directement l’électronique de l’écran et que DisplayCal le fait au niveau de la carte graphique de l’ordinateur.

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Bonjour,

c’est en effet le cas, je viens de le découvrir. Merci @jpg54 !

source Eizo

Maintenir les paramètres d’étalonnage avec différents PC
Avec ColorNavigator 7, les informations d’étalonnage effectuées par l’administrateur sont enregistrées sur chaque moniteur ColorEdge au lieu du système d’exploitation. Cela signifie que les utilisateurs n’ont pas besoin de recalibrer le moniteur, même s’ils utilisent un autre PC.

Du coup, régler les couleurs avec un ordi non Linux et ColorNavigator devient une option intéressante, car indépendante du système.

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Après, j’en ai parlé avec Jean-Pierre Verrue, il utilise les profils de calibrage DisplayCal sous Windows et Linux !

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Bonjour,

Du coup, régler les couleurs avec un ordi non Linux et ColorNavigator devient une option intéressante, car indépendante du système

Tout-à-fait, c’est pourquoi je tenais “tant” à vouloir essayer d’utiliser ce principe. Et de ce fait, je peux a priori le faire car je suis en dual boot Windows 7 / Linux Mint et ColorNavigator est bien installé sur ma partition Windows. Presque un CQFD !

Dans tous les cas, merci @alain_gre, @Clinart, @jpg54 d’avoir pris le temps de regarder ma question : j’apprécie beaucoup votre entraide, qui, j’en suis sûr, en aidera d’autres sur ce même sujet.

Pour information, le support après-vente d’Eizo m’a répondu ceci :

Nous n`avons pas de support officiel pour Linux.
Il existe cependant une version sans support de notre part uniquement pour RedHat Entreprise 8

Si il y a une version Redhat, ça devrait aussi fonctionner sur les systèmes utilisant les paquets .rpm et aussi Mageia 9 qui est développé sur la base RedHat.

Effectivement, toujours bon à savoir que les paramêtres sont enregistrés dans l’électronique du moniteur ( Décidément les moniteurs Eizo ne sont pas des moniteurs comme les autres même si cela “le vaut bien” également en termes de prix ! )

Pour info la version libre de red hat s’appelle Fedora linux (donc potentiellement compatible avec cette distribution ) - Encore un point positif pour Eizo !

Bonjour,

j’ai fini par retrouver des informations détaillées sur le fonctionnement du calibrage matériel.
Chez Arnaud Frich, le site de référence pour la gestion des couleurs.

J’y découvre d’ailleurs une faille dans mon processus, je n’avais pas branché la sonde directement à l’écran via USB-C. Je vais devoir recommencer…

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Bonjour tout le monde,

J’avance petit-à-petit dans l’installation de mon outil de travail et la colorimétrie me donne du fil à retordre. J’ai eu la chance d’avoir eu au téléphone Arnaud Frich et Frédéric Rol de chez Eizo.

Rappel du contexte : j’ai un ordinateur portable (0) qui tourne en dual boot windows 7 pro / Linux Mint pour les raisons suivantes :

  • ColorNavigator (1) n’est pas disponible sur les distributions Linux libres, dont Linux Mint…
    …et je souhaiterais préférentiellement calibrer mon écran CS2420 avec ColorNavigator ; alors comme c’est une calibration hardware, je me suis dit que je pouvais très bien le faire sous windows, puis ensuite utiliser le profil généré sous linux.
  • ART (2) ne tourne pas sous windows 7

(0) PC : Dell Latitude E6420 | cpu : Intel© Core™ i5-2520M CPU @ 2.50GHz × 2 | RAM : 8 Go | HDD 321.1 Go | CG : NVIDIA Corporation GF119M [NVS 4200M] | OS :dual boot Windows 7 pro - Linux Mint 21.2 Cinnamon 5.8.4 noyau 5.15.0-130-generic | Logiciel principal : ART-1.24.5-linux64 | écran Eizo CS2420
(1) logiciel propriétaire de calibration hardware des écrans Eizo ColorEdge
(2) logiciel libre de développement photo

<<< SUJET CALIBRATION >>>

A) Calibration hardware sous windows et tentative de migration sous Linux

Après plusieurs essais infructueux, le centre de contrôle (Paramètres système) de Linux ne semble pas permettre pas d’installer le fichier ICC généré par ColorNavigator.

En effet, en logeant des fichiers ICC sous un même répertoire arbitraire de l’arborescence Linux (3), j’ai bien pu attribuer un profil au moniteur interne, qui avait été calibré sous windows 7 également mais avec le logiciel i1Profiler livré avec la sonde i1 Display Pro.

(3) différent du /usr/share/color/icc qui ne semble pas accessible en écriture en dépôt d’autres fichiers, je ne comprends pas pourquoi

B) Calibration dans Linux

Utilisation du logiciel DisplayCal avec la sonde i1 Display Pro.

Un profil ICC est généré dans un répertoire arbitraire (/home/linds/.var/app/net.displaycal.DisplayCAL/data/DisplayCAL/storage/… donc pas le /usr/share/color/icc : est-ce pareil pour vous ?) : je l’ai copié/collé au même endroit que dans le cas A) et l’attribution du profil au CS2420 via le centre de contrôle a cette fois-ci bien été prise en compte.

Je envoyé un message à Eizo pour confirmer le protocole :

  • câbles HDMI et USB connectés entre le CS2420 et le PC
    => a-t-on vraiment besoin de l’USB lors d’une calibration hors ColorNavigator ?
    => a-t-on besoin de l’USB en général dès qu’on utilise l’écran ? Que ce soit sous Windows ou sous Linux.

  • n’utiliser que les modes CAL de l’écran et ne pas toucher aux modes standards (Custom, AdobeRGB et sRGB)

  • est-ce que, lors d’une calibration (donc mode CAL), les modes d’écran standards (AdobeRGB, sRGB…) sont vérifiés/réétalonnés également de sorte qu’on puisse passer à l’écran d’un mode CAL à sRGB ou AdobeRGB pour en voir les effets sur l’affichage et/ou passer d’une séance de travail en CAL à une en sRGB par ce biais ?

  • est-ce que, lors d’une calibration hors ColorNavigator, le mode utilisé pour se faire doit être celui activé à l’écran tout le temps qu’on souhaite travailler selon le profil généré et sans y toucher jusqu’à la prochaine calibration ?
    => réponse oui (au téléphone)

  • peut-on travailler sous linux en mode Custom géré avec DisplayCal (profil ICC lié à ce mode) et sous Windows en mode CAL3 géré avec ColorNavigator (ou le contraire) ?
    => réponse : pas chaud ! on me propose plutôt de tester la distribution red hat enterprise 8 qui est compatible de ColorNavigator…

<<< SUJET PARAMETRAGE DE ART >>>

Excusez-moi encore si ces sujets sont trouvables, mais je commence à prendre un temps non-négligeable à beaucoup lire et je fatigue…

Je sais que ça dépend :o), mais quels sont les conseils et surtout que veut dire chacun des paramètres dans les deux endroits où l’on trouve du paramétrage de la couleur ?


=> je n’arrive pas à loger un profil ICC dans le dossier ICC !
=> du coup, j’ai créé un répertoire dédié.

Q1) quelle est la différence entre les deux dossiers (profils et profils des écrans) ?
Q2) Quelle est la différence entre Moniteur et épreuvage à l’écran ?
J’en comprends qu’il y a le moniteur intégré à un ordinateur portable par exemple, et un écran externe (ce qui est mon cas : pas de PC fixe avec tour etc…)
Q3) Y-a-t-il une contre-indication à cocher l’utilisation du profil de l’OS pour le moniteur ?

Q4) profil de travail : que choisir ?
Q5) profil de sortie : idem ? (je sais, ça dépend)

J’ai lu sur ce forum qu’il convenait de travailler dans un espace plus grand même que celui de l’APN et de choisir la sortie en fonction de l’usage.
Mon APN est en sRGB pour les jpg (pour éviter les surprises).
J’aimerais être certain de travailler sur les raws sans surprise également, or c’est un sacerdoce…

Mon utilisation est évidemment la diffusion numérique des photos, ainsi que des tirages papier par des intervenants extérieurs (Picto, Photobox…) auxquels j’accorde une relative importance.

Par exemple :

  • travailler les jpg en sRGB dans ART et en calib écran
  • travailler les raw en rec2020 dans ART et au max possible en calib écran (AdobeRGB mini), en prenant en compte la destination : print ou web.
    etc…

J’ai eu des frayeurs de débutant que je ne vous partage même pas pour éviter que vous vous étoufiez de rire !
(par exemple l’effet domino de jpg générés par ART de plus en plus sombres en dehors de ART car l’OS n’était pas calibré…)

Merci d’avance pour vos lumières.
Bien cordialement,

Sébastien.

Bonsoir - Même si elles sont intéressantes cela fait beaucoup de questions différentes : matériel, logiciel, techniques de développement, colorimétrie …) avec des réponses parfois complexes

Si le réglage de calibration de l’écran externe Eizo s’inscrit dans (le firmware) du matériel il devient indépendant du système d’exploitation et du matériel PC fixe ou portable
Cela élimine déjà une difficulté ne pas avoir au moins un point de repaire fiable.

Mais je partage ton interrogation sur les différentes options de profils colométriques que propose ART

Q2 - Comment fonctionne l’épreuvage à l’écran ? – WhiteWall Service Bref des profils que l’on télécharge chez “l’imprimeur” pour prévisualiser l’impression

En attendant des réponses sur d’autres points soulevés :

En choisissant le double format d’enregistrement RAW+ JPEG à la prise de vue l’on s’évite déjà “les mauvaises surprises” c’est à dire conserver la maitrise de la qualité selon l’usage que l’on veut faire de ses photos

Etant donné que le profil choisi (SRGB ou AdobeSRG) n’est appliquée qu’au JPEG l’on pourrait penser que la logique du “qui peut le plus peut le moins” devrait conduire à privilégier le plus grands des espaces de couleurs mais cela peut être l’inverse.

Car si l’on s’oriente vers une diffusion numérique (internet) travailler sur un JPEG en sRGB d’un bout à l’autre de la chaine (édition > diffusion) évitera à l’image d’être dégradée par la conversion “automatique” de l’appareil qui va afficher une l’image qui n’est pas dans cet espace de couleur. Et comme l’on ne maîtrise pas cette conversion il vaut mieux éviter les mauvaises surprise.

Mais si l’on veut plus de latitude dans l’édition (développement) et le tirage papier alors rester dans un espace de couleur plus grand que le SRGB, donc à partir du RAW est justifié quitte effectuer une conversion manuelle soi-même pour créer une version destinée à la diffusion sur les autres médias.

Donc le fait d’avoir paramétrer son boitier pour que les jpeg soient en sRGB simplifie la chaine de traitement. Cela limite les possibilités d’édition (profondeur des correctifs) mais la version RAW est la pour aller plus loin dans le développement et l’impression.

Oui cela peut être contraignant - mais je serais tenter de dire que l’on n’a rien sans rien

PS même des pros peuvent travailler en jpeg lorsqu’il faut être capable de diffuser extrêmement rapidement l’image (ce qui suppose de réussir son exposition et autres paramètres à presque tout les coups : la chaine d’édition entre la prise de vue et la diffusion sur les écrans pour des photographes d’agences sportives peut réduire le temps d’édition à moins d’une minute voir cet extrait de la conférence d’un https://youtu.be/C0BU9aNhlcQ?si=OBvo3LxklzRitoUg&t=2968

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Bonjour,

Pour répondre à la question initiale, ayant moi-même un écran Eizo CG277, je pense que la meilleure solution est d’avoir linux et windows en dual boot, d’installer ColorNavigator sous Windows.
Ensuite, effectuer la calibration sous Windows avec le câble USB fourni avec l’écran. Les données de profil sont enregistrées dans l’écran lui-même. Les profils ainsi définis (un par entrée vidéo) peuvent être appelés à la demande et indépendamment de l’ordinateur utilisé et donc du système d’exploitation avec la touche Mode.
Le site d’Arnaud Frich est à ce titre très instructif.
Pous info et au cas où cela vous tenterait, ColorNavigator ne fonctionne pas sous Wine ou Bottles qui permettent parfois de faire tourner des applis Windows sous Linux.
Pierre

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Je ne suis pas du tout sûr que la calibration sous Windows soit optimale sous Linux !

Avec ColorNavigator les cibles de calibrage actives sont attribuées et enregistrées dans les modes de couleurs du moniteur plutôt que dans le système d’exploitation. Ainsi, les utilisateurs n’ont pas besoin de recalibrer le moniteur lorsqu’ils utilisent un autre PC que celui utilisé pour le calibrage.

Source : Logiciel EIZO ColorNavigator pour le calibrage matériel

Si la calibration de mon écran sous Linux/DisplayCal ne fonctionnait pas, je la referai avec le portable Windows dont je me sers pour le club photo. Ils ne connaissent pas Linux :volcano:

À Clinart :

Je suis intéressé par ton retour sur la calibration et la caractérisation avec DisplayCal.
J’ai déjà tenté sur un autre écran Benq et une sonde i1Display pro, mais le fait de ne pas pouvoir définir le niveau du noir et donc le contraste m’a fait arrêter (il faut baisser fortement le contraste pour faire de l’épreuvage à l’écran pour une impression papier). Je suis peut-être passé à côté de quelque chose.

La sonde intégrée sur le CG277 est un plus, car calibration et caractérisation se font tout seuls à la fréquence définie.

Je voulais dire dans mon message précédent que la calibration hardware simplifie les choses pour bien régler un écran et l’utiliser sous linux, mais cela a un coût.
Il n’y a pas que Eizo à cet égard : voir aussi certains écrans Benq et Asus.

Pierre

Bonjour,
à la réception de l’écran Eizo, j’ai procédé à la calibration, mais en connectant la sonde au port USB de la carte-mère et non directement au port USB de l’écran. D’où mes doutes quant à l’activation du profil généré, vu ce qu’en dit Eizo.
Depuis, je n’ai eu l’occasion de faire tirer mes images qu’une seule fois. Aucune dérive de couleur décelable. Les tirages ont été réalisés par un petit labo équipé d’une tireuse de minilab, une Noritsu je crois, que les opératrices maîtrisent manifestement.

Par acquit de conscience, et peut-être parce que je suis un peu maniaque, je pense refaire la calibration avec DisplayCAl et connection directe de la sonde à l’écran.
Et si j’en prends le temps, l’utilisation de Color Navigator à partir du portable Windows, histoire d’avoir une base solide.

Peut-être avant la prochaine expo cet été, mais 0h30 de préchauffage plus 1h30 de calibration, faut prévoir de la marge et rien d’autre à faire.

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Bonsoir,

Sauf erreur de ma part, la sonde doit être connectée à l’ordinateur pour que ColorNavigator puisse l’utiliser (et pas à l’écran, sauf si celui-ci est doté d’une connectique USB qui permet d’y brancher des périphériques).
Il est essentiel que l’écran Eizo soit relié par le câble USB fourni par le fabricant à l’ordinateur (la prise USB est située à côté des connexions vidéos, sous l’écran), de façon à ce que le logiciel puisse communiquer avec l’électronique de l’écran et ainsi enregistrer les profils.

1h30 de calibration, c’est (très) long. Il y a peut-être un choix de patches colorés trop nombreux.
ColorNavigator est nettement plus rapide.

Cordialement.
Pierre

L’écran dispose de ports USB

mais je dois voir comment appliquer ce que tu dis

Je ne vois pas de câble USB > HDMI ou DisplayPort (les seuls ports de la NVidia) dans ceux que j’ai eus avec l’écran.

J’essaierai dès que j’ai un moment.

Pour être plus précis et plus simple :

  • ne pas se préoccuper dans l’immédiat si l’écran a des ports de connexion USB pour des périphériques (sur les côtés en général);
  • la connexion USB de l’écran se fait avec un câble avec des ports USB aux deux extrémités, mais pas forcément le même type de connecteur. Il faut connecter ce câble à un port USB de l’ordinateur.

Pierre

Je pense que la lecture du guide d’utilisation rapide de l’écran te serait profitable. C’est souvent assez clair.

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